Taleb Lachheb
Elephant Vintage Store lance une nouvelle rubrique : Only You! Une rubrique faite pour vous, par vous. Vous y retrouverez des interviews de nos clients, de nos amis, bref de vous ! On continue avec notre seconde interview de Taleb Lachheb!
Salut… comment te sens-tu aujourd’hui?
Hey, ça va super, j’ai retrouvé mes potes, les rues, le plaisir de retrouver son lit le soir c’est cool.
Peux-tu te présenter en quelques mots?
16 ans, de Lyon je suis en 1ère professionnelle « Visual Merchandising » au lycée du Premier Film à Lyon. Je passe la majorité de mon temps à faire ou à écouter de la musique, dessiner et à chiner des vinyles.
À quoi ressemble ta garde-robe, quel ton univers et tes influences?
Ma garde robe a vachement évoluée, il y a encore un an je n’étais que de noir vêtu : Des Docs Martens au perfecto en cuir. Depuis peu je commence à expérimenter la couleur avec des Levis 501 bleu et des chemises Yves Saint Laurent pastels.
Même si l’amour que j’ai pour mon perfecto est toujours là, je le remplace souvent par des bleus de travail ou même des trench Burberry’s. Même chose pour les Docs Martens, elles restent mes petites protégées mais je les remplace de temps en temps par des Paraboots ou des Converses.
Morgan (Community Manager d’Elephant Vintage Store) m’a dis un jour que mon style représentait bien Londres à savoir les punks de Camden en passant par les bobos de Kensington, je pense qu’il a raison car au fur et à mesure de mes aventures londoniennes, cette ville a sûrement dû laisser une trace sur mon style et dans ma manière d’être au quotidien…
Quelle est la première pièce vintage que tu as portée?
C’est mon perfecto en cuir, je me revois le « voler » à ma mère pour une soirée Halloween quand j’étais au collège, depuis on ne s’est jamais quittés.
Quel est ton rapport au vêtement de seconde main et vintage?
J’ai un rapport super fort aux vêtements de seconde main, ça fait environ deux ans que je n’achète que ça, que ce soit en friperie, sur Vinted ou même dans les marchés au puces. Je trouve que même au delà du fait que ce soit un moyen écologique, ça a un certain charme de porter et consommer des vêtements avec une « histoire » derrière.
Décris-nous ta façon de consommer en général?
J’habite encore avec mes parents... Je les poussent donc au maximum à consommer chez des producteurs locaux et à éviter Carrefour même si pour certaines choses comme la lessive et le shampooing c’est chaud...
Quand je suis avec mes potes on essaye d’éviter au maximum les Macdo’ et autres trucs du genre pour essayer de palier à notre capitalisme de teenage avec nos iPhones nos Nike, etc.
Il parait que tu commences une collection de Vinyles originaux, qu’est-ce-qui t’as amené là-dedans?
Carrément ! Je sais pas trop c’est venu comme ça. J’ai toujours écouté les vinyles de ma mère et un jour j’en ai acheter un. C’était Unknown Pleasure de Joy Division : un original 1979 et de la ça a commencé… J’achète que des vinyles originaux justement pour essayer de combattre l’industrie du disque qui sort chaque année des rééditions d’album pour faire du profit sur des artistes souvent décédés.
Quelle est ton geste quotidien pour la planète?
J’essaye de privilégier les vélos aux transports en commun quand c’est possible, j’essaye aussi de trier mes déchets au maximum. Mais j’avoue que à par ça je suis vraiment pas un exemple sur ce genre de question…
Quelle est ta devise?
Jesus died for somebody’s sins but not mine
Retrouvez les aventures de Taleb sur son Instagram : @taaleblachheb